Propriétaire est un état privilégié. Dans le milieu esclavagiste, est qualifié(e) de Propriétaire toute personne de sexe masculin ou de sexe féminin qui possède au minimum un ou une esclave consentant(e) qu'il a fait immatriculer au fichier central et dont le matricule est tatoué entre les fesses de l'esclave, précédé du chiffre de son Propriétaire et non suivi du label d'affranchissement.

Jusqu'à son immatriculation, l'esclave est considérée comme un bien mobilier assortit de tous les droits que confère la possession matérielle, donc utilisable sans limite et cessible sans autre formalité qu'un accord entre Propriétaires, étant donné qu'en matière mobilière "possession vaut titre".

L'esclave non consultative de par son statut, et dont l'avis indiffère son Propriétaire ne peut s'opposer à sa cession.

Une fois le transfert matériel de l'esclave bien mobilier effectué, l'esclave insatisfaite de ses nouvelles conditions de servitude peut demander son affranchissement à son nouveau Propriétaire au bout de 24 mois suivant son transbordement physique.

Par contre, une esclave immatriculée au Fichier Central change de statut et de bien mobilier s'apparente dorénavant à un bien immobilier pour lequel toute cession doit être signalée et enregistrée au Registre Central avant son transfert matériel.

L'esclave immobilière faisant l'objet d'une cession doit physiquement être présenté au Fichier Central  qui va effectuer une visite médicale exhaustive sur l'esclave, évaluer l'ensemble de ses performances dont les résultats seront reportés sur les titres de transfert afin d'éviter toute contestation ultérieure quant à ses capacités de servitude et éviter ainsi le dol et toute tromperie sur l'état de l'esclave et le niveau de ses performances.

A la suite de quoi, l'esclave sera, avant sa restitution, tatouée au Fichier Central même,  du chiffre de son nouveau Propriétaire. Ce tatouage sera effectué entre les fesses de l'esclave, visible dès que les fesses de l'esclave sont écartées, geste généralement effectué dans les toutes premières minutes d'une inspection d'esclave.

Comme pour la cession d'une esclave propriété mobilière, la cession d'une esclave propriété immobiliere ne nécessite pas l'accord de l'esclave. L'esclave peut néanmoins demander à ce qu'une objection à sa cession soit enregistrée, ce qui lui confère le droit de demander son affranchissement à son nouveau Propriétaire, deux années seulement après son transfert matériel, l'esclave ayant l'obligation de servir son nouveau Maitre ou sa nouvelle Maitresse durant deux années au minimum avant de pouvoir prétendre à un affranchissement.

Dès la transaction de cession conclue, la propriété de l'esclave est transmise à son nouveau Propriétaire qui devient son nouveau Maitre, ou sa nouvelle Maitresse si la cession a été conclue à une esclavagiste.

Le transbordement physique de l'esclave peut avoir lieu instantanément. C'est ce moment seulement que l'esclave est informée de sa cession et que tout beg pour demander l'autorisation de parler lui est refusé, étant donné que toute protestation, contestation ou demande de clarification serait vaine, son statut d'esclave lui imposant l'obligation de se satisfaire de son sort.

Les Propriétaires considèrent que l'esclave, dont la propriété vient d'être transmise a fait de facto allégeance à son nouveau Propriétaire, libre d'en faire l'usage qu'il souhaite. Les esclave femelles mobilières sont généralement emportées de suite pour être incorporées au cheptel de leur nouveau Propriétaire.

Donc, être Propriétaire d'une esclave mobilière ou immobilière, c'est avoir tous les droits que confère la possession matérielle.

L'esclave qui a consentie à la servitude devient de ce fait même un simple objet, tel un bibelot ou un meuble dont son Propriétaire peut disposer à sa guise, l'aimer, la choyer, l'asservir, l'utiliser, l'humilier, la battre, la prêter, la céder ou en faire un pet, un animal domestique à ses pieds que son Maitre caresse, cajole et parfois maltraite.

Certains Propriétaires souhaitant faire participer leur esclave aux joutes inter-esclaves les transforment en véritables championnes afin de les faire concourir pour se mesurer à des consœurs et à des confrères au même statut d'esclave appartenant à des Propriétaires pour qui une esclave bien dressée doit être capable de leur ramener des médailles prouvant la qualité et l'efficacité de leur dressage

Mobilière ou immobilière, une esclave volontaire est une propriété . Son Maitre ou sa Maitresse en sont Propriétaires avec tous les droits qu'une possession confère

"Possession vaut titre". Un Propriétaire dispose librement de sa propriété et en fait l'usage qu'il veut. Une propriété est cessible, aliénable et transférable

Un esclavagiste souhaitant négocier la reprise d'une esclave femelle s'attachera à inspecter en priorité les deux orifices les plus utilisés, son orifice buccal et son orifice anal avant de conclure son inspection par une grande claque sur une fesse afin de s'assurer de la sonorité que produit l'abattage de sa main sur la fesse.

Une esclavagiste de sexe féminin négociant la reprise d'une femelle s'attardera sur la longueur, la consistance et la texture de la langue de l'esclave femelle convoitée, tordra un téton pour en vérifier la rapidité d'érection et terminera son inspection par une grande claque sur une des mamelles afin de s'assurer de la durée de son ballotement

Quand il s'agit de négocier la reprise d'un esclave male, une esclavagiste de sexe féminin s'intéressera en priorité au gabarit  du phallus de l'esclave male afin de s'assurer de sa virilité, de la rigidité de son érection et de sa résistance à l'éjaculation, avant de s'assurer de la longueur et de la texture de sa langue.

Quand un esclavagiste de sexe masculin négocie la reprise d'un esclave male, il s'intéresse en priorité à l'élasticité de l'anneau anal de l'esclave convoité, au poids de ses balls et à l'acabit du sexe en érection avant de terminer par une brutale torsion des balls afin d'apprécier la sonorité du cri de douleur que son action est censée faire jaillir

L'esclave, quel que soit son sexe est un objet précieux que les Propriétaires sont fiers d'exhiber à leurs amis et à leur entourage en lui faisant prendre des postures suggestives, souvent à la limite de la pornographie, contribuant ainsi au bien-être psychologique de leur esclave qui s'épanouit dans les humiliations que son Propriétaire lui fait publiquement subir.

Les Propriétaires sont tout à fait conscients d'humilier leur esclave en l'exhibant souvent nue, telle une marchandise dans un bazar, en la livrant à des regards concupiscents inconnus de l'esclave, et en tolérant parfois les inévitables attouchements qui accompagnent l'exposition publique d'une esclave.

L'esclave déjà passablement humiliée de n'être considérée et traitée que comme de la viande, meat, prend un plaisir intense à écouter les commentaires souvent crus sur son aspect ou sur l'intérieur de ses orifices quand des doigts fouilleurs s'insèrent, parfois brutalement dans sa bouche, son vagin ou son anus.

Ces pratiques sont toujours le fait de Propriétaires qui savent que plus ils humilient leur esclave, plus l'esclave est heureuse et plus elle s'attache à eux.

Il n'est pas nécessaire qu'un Propriétaire soit particulièrement sadique pour battre, gifler, fesser, cravacher ou fouetter son esclave.

Ces maltraitances font partie du lot quotidien d'une esclave qui endure ces traitements principalement lors de son dressage, les esclavagistes ayant compris que la brutalité accélère d'abord le dressage des femelles, puis le perfectionne.

Un Propriétaire n'a besoin d'aucun prétexte pour battre son esclave, étant tout a fait dans son droit d'en user et de la traiter comme Il l'entend. Un Maitre est donc fondé de décharger sa mauvaise humeur sur son esclave qui n'a d'autre choix que celui de subir, parfois avec douleur ce que son Propriétaire lui fait endurer.

Il faut quand même noter que le Propriétaire d'une esclave intelligente et bien dressée, maitrisant non seulement toutes les postures mais aussi perfectionniste dans ses performances sexuelles donnera peu d'occasions à son Maitre de la maltraiter trop durement, car ayant appris à reconnaitre les différentes  humeurs de son Maitre, l'esclave performante et se doutant de l'épreuve qui l'attend, s'efforcera de le combler en devançant ses désirs, suggérant elle-même à son Maitre  de se défouler sur elle à l'aide de sa cravache ou de son fouet.

Très souvent en effet, son Maitre se défoulera comme suggéré par son esclave, mais fera preuve d'une certaine modération en zébrant le corps de son esclave, les esclaves ayant entre autres fonctions celle d'être les défouloirs de leur Propriétaire.

La brutalité d'un Propriétaire envers son esclave est un impératif car non seulement la brutalité contribue efficacement à maintenir l'esclave en situation de soumission, mais accentue son humiliation physique complémentaire à l'indispensable humiliation psychique tellement nécessaire au bien-être de l'esclave.

Considérée par son Propriétaire comme de la viande, meat, l'esclave se trouve ainsi en permanence rabaissée, ravilie et humiliée, ces trois besoins essentiels qui, une fois satisfaits, contribuent au bien-être de l'esclave et à son équilibre psychologique.

Amabilité, gentillesse, complaisance, respect, bonté, bienveillance, délicatesse, affabilité, prévenance, sont justement ce qu'une vraie soumise rejette et qu'elle a fui en rentrant en servitude. Un Maitre avertit, conscient et compétent se gardera bien d'avoir un geste aimable envers son esclave.

Mais l'esclave ne doit pas se méprendre: plus son Propriétaire la brutalise, l'humilie, la punit, plus il l'aime, car conscient du perpétuel besoin d'avilissement de son esclave, il contribue par sa maltraitance à sa stabilité psychique.

• Un Maitre ne demande pas, il commande, décrète, dicte et ordonne

• Un Maitre ne souhaite pas, il exige, impose, contraint, astreint

• Un Maitre ne flatte pas, il avilie, rabaisse, dénigre, discrédite, ravale, vexe, humilie. 

• Un Maitre brutalise, bat, sanctionne, pénalise, torture, châtie, punit

• Un Maitre dresse son esclave pour être servilement servi et en fait usage pour son plaisir.

• L'esclave obéi, sert, respecte, honore et fait plaisir à son Maitre

• L'esclave est taillable, exploitable et corvéable à merci

Amabilité, gentillesse, complaisance, respect, bonté, bienveillance, délicatesse, aménité, douceur, générosité, affabilité, prévenance, tolérance, indulgence, pardon, ne sont pas des attitudes de Propriétaires.

Arrogance, impertinence, insolence, irrévérence, condescendance, moquerie, dureté, brutalité, méchanceté, rudesse, vice, dédain, sont les attitudes par excellence des Propriétaires, car seules ces attitudes permettent d'humilier une esclave et combler ainsi son impérieux besoin de mortification.

Male ou femelle, l'esclave ne s'épanouit que dans la brutalité, la répression et l'humiliation.