Le corps d'une femelle, esclave par définition, donc à usages multiples, est composé de différentes parties dont l'assemblage en fait un objet utilitaire apte à plusieurs usages.

Les composants que les Propriétaires d'esclaves considèrent les plus utiles:

•  1. La chevelure

•  2. Les joues

•  3. Le nez

•  4. Les lèvres

•  5. La bouche, orifice buccal et sa langue

•  6. Les oreilles

•  7. Le cou

•  8. Les bras

•  9. Les extrémités, doigts, orteils, mains et pieds

• 10. Les mamelles

• 11. Le torse

• 12. Les Hanches et les reins

• 13. Les jambes dont les cuisses

• 14. Les mollets

• 15. Le pubis qui cache le vagin

• 16. les fesses qui s'entrouvrent sur l'anus

Cet assemblage hétéroclite fait que chacune des parties a son usage et son utilité, et que chacune d'entre elles est modifiable pour pour être conforme aux préférences de son Maître, quelle que soit sa taille, son poids, la couleur et la texture de sa peau, l'élasticité de sa musculature, la résistance à la manipulation brutale des différents composants, à leur réactivité aux pincements, aux coups, aux caresses, aux torsions des tétons, à l'étroitesse et a profondeur de ses orifices inférieurs ainsi qu'à leur réaction respective perforés par un doigt, un god ou un plug, à la rapidité d'humidification de son vagin comparée à celle de sa bouche réputée par de nombreux esclavagistes comme la composante la plus utilitaire.

 1. La chevelure peut remplacer une laisse. Pratique pour trainer une esclave derrière soi.

Dans la brutalité, la chevelure, facilement accessible permet de rapidement créer de la douleur chez la femelle et lui arracher un cri que de nombreux Maîtres sadiques se plaisent à entendre à répétition.

 2. Les joues: parfaitement placés des deux cotés du visage, les joues de femelles agissent comme des aimants sur les mains de certains Maitres particulièrement brutaux qui pour un rien balancent des gifles qui s'abattent sur les joues, les faisant rosir sous les claques répétitives.

3. Le nez: parfaitement placé au milieu du visage, le nez est extrêmement utile pour forcer une bouche à s'ouvrir en l'empêchant de respirer par le nez.

4. Les lèvres: ont leur interdiction, à l'exception de quand elles se referment sur le phallus de leur Maître, leur utilité première étant d'effectuer une fellation sur le bout du phallus. Ensuite elles servent à embrasser le phallus pour l'honorer. Consulte ICI l'interdiction de clore les lèvres.

5. La bouche est l'un des trois orifices principaux des composants d'une femelle. Doté d'une langue intérieure, cet orifice buccal est très probablement la brèche dans la structure faciale qui est le plus souvent mis à contribution du fait qu'il est le seul dénudé et dont l'usage peut intervenir pratiquement n'importe où, ne nécessitant ni déshabillage ni précaution particulière.

Que ce soit dans un ascenseur ou dans l'entrebaillement d'une porte, la bouche est d'un accès aisé pour effectuer une fellation discrète que l'on peut rapidement interrompre en cas d'intrusion d'un tiers si l'on le souhaite.

Cavité pratique, la bouche d'une esclave, qui doit être toujours accueillante, est rodée à ces pratiques ancestrales. Depuis les temps immémoriaux une esclave sait d'office qu'il lui faut tomber à genoux aux pieds de son Maître dès qu'elle "sent" une opportunité dont son Maître pourrait profiter, pensant inconsciemment qu'offrir spontanément sa bouche amadouerait quelque peu son Maître à son égard.

Orifice supérieur, la bouche permet à une esclave de s'alimenter selon les modalités prescrites par son Maitre.

Goulot d'où sort une langue condamnée à lécher le phallus de son Maître, la bouche sert aussi à recevoir le sperme de son Maître et sert souvent chez les sadiques de simple poubelle pour des objets avec lesquels ils colmatent l'ouverture, ou de cendrier pour leur cigarette fumante.

Véritable trou dans la face d'une esclave, de bonne contenance, la bouche peut être bâillonnée pour interdire la parole ou démesurément évasée pour éjecter à l'intérieur un crachat d'humiliation. S'il faut croire les historiens, la bouche d'esclave a surtout servie de réceptacle le sperme du Maître.

6. Les oreilles: excroissances au nombre de deux cernant le faciès, ils permettent d'harponner par torsion une esclave désobéissante et la trainer par une oreille quand une laisse fait défaut.

7. Le cou: composant support de la tête, son enserrement permet de faire suffoquer l'esclave pour la forcer par exemple à ouvrir grand la bouche.

Particulièrement résistant, le cou permet aussi de soulever de terre une femelle en encerclant son cou, ou pour la rendre plus docile si l'on souhaite la tripoter calmement, en annihilant toute forme de résistance ou  encore fourrager un de ses orifices, pour vérifier par exemple l'humidité de son vagin en l'empêchant de regimber.

Les Maître, aussi sévères soient-ils prennent de grandes précautions quand il s'agit de faire usage du cou pour obtenir une privauté que leur esclave, à tort évidemment, semble refuser de leur accorder, ce qui est totalement inadmissible.

8. Les bras: au nombre de deux, un de chaque coté du corps, ils sont non détachables, mais assez résistants pour permettre de suspendre une esclave par les bras afin de jouir en toute liberté de son corps ou pour la fouetter comme punition et jouir de la vibration et du balancement de sa chair à chaque lancé de fouet.

Les bras servent aussi à faire positionner l'esclave dans différentes postures: bras derrière la nuque, bras levés, bras derrière le dos, bras sur les fesses, bras collés au corps, bras écartés, les bras permettent à son Maître de modeler les postures de son esclave comme Il le souhaite tant les bras à plusieurs articulations permettent divers façonnements, du plus simple au plus complexe et au plus éprouvant.

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